Un ramassis d'être humains en proie à leurs échecs et leurs illusions se retrouve dans une lutte pour sa survie. Ils nous dévoilent l'homme dans toute sa nudité, avec ses rêves, sa teendresse, et ... l'espoir...

C'est à travers les signaux de détresse, les cris brûlants de ces sans-abris, de ces moins que rien, de ces rejetés, de ceux que l'on montre du doigt, qui sentent mauvais, ceux qui nous 

font peur, ceux qui sont ivres, malades, à qui l'on jette parfois une petite aumône... que nous trouvons cet épiphonème : "L'homme ! Il faut respecter l'homme. Pas le plaindre, pas l'humilier par la pitié... Il faut le respecter. Buvons à l'homme, baron."       

Lucile Cocito