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C'était un samedi

du 09 au 30 septembre 2023

Spectacle en grec, surtitré en français

Textes Dimitris Hadzis et Irène Bonnaud
Mise en scène Irène Bonnaud

Avec Fotini Banou

Sculptures Clio Makris | Lumières Daniel Levy | Régie générale Apostolis Koutsianikoulis

Infos

Représentations

le mardi, mercredi, vendredi et samedi à 20h
le dimanche à 16h
(relâche lundi et jeudi)

Durée du spectacle

1h30

Prix des places

20€ (Individuels)
15€ (Collectivités, demandeurs d’emploi)
10€ (Etudiants, moins de 26 ans)

Location

Individuels, auprès de la Cie 813
07 57 82 87 19 | info@cie-813.com
Collectivités et groupes d'amis (10 et +)
01 43 74 88 50
En ligne
Théâtre Online | Billet Réduc
© Nicolas Lascourrèges
© Nicolas Lascourrèges
© Nicolas Lascourrèges
© Nicolas Lascourrèges
© Nicolas Lascourrèges

À propos

C’était un samedi, c’était shabbat, le 25 mars 1944, à Ioannina. C’était aussi la fête nationale grecque.

La communauté juive "romaniote" – c’est-à-dire de l’Empire romain (d’Orient), c’est-à-dire grecque –  fut déportée ce jour-là par des soldats de la Wehrmacht à Auschwitz-Birkenau.

Passant des souvenirs du grand écrivain grec Dimitris Hadzis aux témoignages des survivants  qu’elle tisse de chants judéo-grecs ou judéo-espagnols, Irène Bonnaud raconte, par la voix de l’actrice et chanteuse Fotini Banou, un pan méconnu de la destruction des Juifs d’Europe.

Le destin du convoi grec du printemps 1944, c’est pourtant aussi "l’affaire Kurt Waldheim", les quatre photos prises par Alberto Errera à Birkenau, le manuscrit enterré de Marcel Nadjari, la révolte du Sonderkommando le 7 octobre 1944 – un samedi aussi.

Entourée par onze fascinantes figurines de la sculptrice Clio Makris, Fotini Banou, avec tendresse et ténacité, dit le deuil d’un monde disparu, mais aussi la résistance. Le théâtre se fait sentinelle de la mémoire.

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